Vaeron arrêta sa monture, un cheval à la robe blanche de type Asarien, reconnaissable à ses yeux vert émeraude.
"Je vais partir en eclaireur, en attendant garde les chevaux Vala !"
L'Asarien s'adressait à une jeune fille fière dont les yeux brillaient d'une inquiétante malice mais dont la beauté avait laissé pantois Vaeron quand il était encore à l'université.
"Bien mais ne t'attire pas encore des ennuis pour une cause quelconque."
"Je t'en fais la promesse !"
Alors que le jeune homme s’éloignait avec prudence, Vala sécurisa les lieux avec quelques sorts puis s'occupa des montures. Vaeron parcourra environ deux cent mètres avant de s’arrêter devant la porte d'Ascolia. Comme l'or ce qu’il était venu, il y a de cela trois ans il passa un long moment à admirer les symboles ornant la porte. Puis songeant que Vala devait s'impatienter, il fit demi-tour.
"Te voilà enfin ! D’après la position du soleil je dirais que j'ai attendu environ une heure ! INTOLERABLE ! Heureusement que j'ai trouver quelque distraction."
L'Asarien ne put que sourire face au protestions habituelle de la guerrière.
"Et puis je te demander quel genre de distraction ?"
"Tu peux, mais je ne te répondrais pas !"
Vaeron haussa les épaules, se remit en selle et dit d'une voie plus sérieuse
"On y va !"
Les Asariens firent partirent leurs montures au galop et arrivèrent bientôt en vue de la porte. Vaeron descendit de sa monture et commença à décharger son équipement.
"Je conte sur toi pour bien soigner ma monture en..."
Vala le coupa et dit d'un air grave.
"Ne t’inquiète pas pour ta monture, j'en prendrai bien soi, occupe-toi plutôt de toi, je sens quelque chose que je n'aime pas."
Elle prit la bride de cheval de Vaeron, lui dit au revoir d'in signe de la tête et partit précipitamment.
*Etrange, comportement ! *
Il claqua des doigts et ses valises s’élevèrent à quelque centimètre du sol. Il s'approcha de la porte, ferma les yeux et toucha la porte de la paume de sa main. Il rouvrit les yeux.
*Sa n'a pas vraiment beaucoup changé depuis la dernière fois ! *
Il se retourna, ses bagages semblaient bien tous être la. Il s’éloigna un peu de la porte, toujours suivit par ses valises.
*Maintenant le plus dur reste à faire. *