Vaeron, toujours suivit par sa cohorte de bagage, arriva dans l'Aile des Professeurs. N'ayant pas demander ou se situait la partie habitable pour les professeurs et ne voulant pas plus déranger la directrice d'Ascolia, Vaeron s'était fait indiquer la situation à suivre par un des habitants de la cité.
*Quelle chambre vais-je prendre ? *
Le jeune homme se dirigea vers une porte de chambre. Il caressa des doigts la surface en bois de la porte et sourit en sentant la magie des lieux et se laissa guider par elle. Il ouvrit les yeux en sentant la porte s'ouvrir.
*Parfait ! *
Il entra dans sa chambre, une pièce rectangulaire composé de trois fenêtres rappelant celle de sa chambre à Moran. L'armoire à vêtements était située contre le mur ouest de la chambre qu'il avait imaginé, le lit lui était à l'opposé, au milieu de la pièce trônait un bureau d'apparence modeste, utilisé par les stratèges Asarien. Derrière le bureau était posé plusieurs perchoirs et cages pour oiseau, quelques coffres étaient répartit dans la pièce. Au sud à coter de la porte se trouvait deux meuble, un pour les livres et un autre pour ranger des potions. Dans les coffres, le jeune homme y rangea divers équipement pouvant servir au combat ou pas. Il cacha une dague sous son oreiller et posa contre son lit son épée longe. Il accrocha diverses armes sur les mures à des endroits stratégiques. Il scella les meuble avec des sorts et sécurisa sa chambre avec diverse incantation et objets. Tout cela lui prit un certain temps.
*Qu'est je pu oublier ? Les rapaces !*
Il s'approcha de ses valises marquées du sceau de l'aigle et les ouvris. Tour à tour un aigle, un épervier et un faucon apparurent poussants des cries de protestation.
*Ils n'ont pas l'aire d'avoir apprécier le voyage. *
Il ouvrit avec précaution une malle noire ou des symboles d'apparence étranges et inquiétants était inscrit, il l'ouvra avec précaution et fit rapidement un pas en arrière. Il y eut une explosion de fumée, la chambre fut soudain saisit d'un silence anormal voir inquiétant. Deux yeux rouges apparurent et quand la fumée se fut dissiper, on put distinguer qu'ils appartenaient à un corbeau d'allure assez inquiétante. Les rapaces n'osèrent même pas fixer l'oiseau de mauvais augure qu'il venait d'apparaître.
"Tu es contente de toi ? "
"Croa ! Je devrais-te..."
" Je te charge de surveiller cette chambre ! "
Le corbeau fixa Vaeron avec des yeux meurtrier.
"Bien, je vais m'acquitter de cette tache mais je te demanderais plus de respect envers personne que je suis."
"Celle que tu étais, tu à été punis de tes crimes et transformé en corbeau"
" Bla, bla-bla, inutile de me faire cette précision ! "
Le corbeau vola dans la pièce puis disparut soudain et la pièce retrouva une atmosphère normale. Le jeune visiblement exténué s'étendit sur son lit.