Dépôt

Sujet: Dépôt Sam 20 Jan 2007 - 20:27

Zhaï frappa à cette à la porte du bureau, puis attendit quelques secondes avant de rentrer un colis sous le bras et une lettre à la main. Elle poussa la porte et entra dans ce bureau qu'il lui était si familier… Elle déposa le colis dans un coin pour ne pas qu'il dérange puis apposa la lettre sur le bureau.

Lettre lisible seulement part Artémis Loevel :
" Dame, Loevel :

La jeune fille du nom de Charlotte Espedonnante veut recevoir son colis dans son bureau, bien que cela ne me plaise peu. Il me permettra de régler une affaire délicate, le colis contient une dague à doubles tranchants en mithril ce qui élève le prix de l'arme à un coût surprenant. Le sabre et de belle qualité mais n'est conçue d'aucun matériaux coûteux. C'est pour cela que je fais appelle à vous régler se léger détail: d'où provient cette argent.

Cordialement, Zhaï Dritzz

P.S. : Le prix de ces deux armes atteint facilement les 4 500 Mystic d'or."

Sujet: Re: Dépôt Mar 30 Jan 2007 - 18:09

Charlotte arriva à la porte du bureau d'Artémis. Olwey était dans ses bras. Hors de question qu'il aille salir le sol! Elle tendit une main hésitante et toqua trois petits coups. Ses armes étaient sans doute arrivées...Elle l'espérait. Elle attendit, le coeur battant. Elle attendit trente seconde, une minute, cinq minutes. Rien. Elle pinça ses lèvres et tendit une main tremblante vers la poignée. Artémis ne l'avait peut-être pas entendu, et elle avait bien assez apprit chez son oncle -elle frissonna brièvement- qu'il était très impoli d'insister. Elle posa sa main sur la poignée. Elle l'actionna. Lentement, très lentement, elle entrebailla la porte. Elle passa sa tête et vit sur le bureau un colis et une lettre. Ses armes devaient être arrivées! Mais le bureau était vide de toute présence. Artémis n'était pas là. Elle retira sa tête en laissant la porte entrebaillée. Rien ne servait de mentir en disant ne jamais avoir ouvert la porte. Mieux valait rester honnête. Elle attendit donc, se préparant à l'entrevue. Elle farfouilla dans sa poche et en ressortit une bourse bien allégée. Elle frissonna en pensant à l'argent que contenait cette bourse. Vivement qu'il soit dépensé...

Sujet: Re: Dépôt Mer 31 Jan 2007 - 22:41

Artémis étai en pleine conversation avec Marialon lorsque l'on avait ouvert la porte, la personne avait sûrement toquée, mais elle ne l'avait pas entendu. Elle se tourna vers le grand miroir qui était accroché au mur, fit un dernier signe à Marialon en tant qu'aurevoir et mit fin à sa conversation. Puis elle se dirigea vers son bureau ou se trouvait un paquet et une lettre. Elle s'avança vers son bureau croyant, que son visiteur avait déposé le paquet avant de repartir, mais elle vit Charlotte puis que le paquet était de Zhaï.
Elle s'installa à son bureau en observant la lettre qui l'accompagnait, tout en faisant signe à la jeune fille de s'asseoir.

* J'ai râté un visiteur, et pas entendu un deuxième entrer, il faudra que je dise ça à Marialon ça le fera rigoler. *

La lettre était magique et lui était adressé directement, elle l'ouvrit donc sans attendre, faisant un signe à la jeune fille qui patientait de bien vouloir l'excuser. Elle déplia la lettre et la lut attentivement et fut intrigué, elle ne put s'empêcher de lancer un regard à Charlotte qui attendait sagement dans le grand fauteuil en cuir noir.
Celle-ci ne semblait pourtant pas très à l'aise et Artémis songea que l'impression de Zhaï était peut être bien fondée. Remarque la porte de son bureau ouverte, elle se leva relisant encore la lettre pour aller la fermer. Une fois fait elle se rassit face à la jeune fille reposa la lettre et lui sourit avant de dire.

" Bonjour, il semblerait que tu tombes juste, il me semble que ce paquet te soit adressé. Mais d'après cette lettre je dois vérifier que tout est en ordre alors si tu permet je peut l'ouvrir ? "

Elle attendit patiemment assise au fond de son grand fauteuil, qu'elle lui réponde.

Charlotte était bien mal à l'aise dans ce fauteuil trop spatieux pour elle en la bien trop grande compagnie d'Artémis Loevel. Elle ne méritait pas toute cette attention...

"Je pensait que c'était bien pour moi. Et je vous permet bien évidemment de l'ouvrir."

Elle se détendit un peu. Olwey était calme; et puisque ses instint de loup ne lui présageait rien, pas de quoi être stressée. Elle attendit donc patiement que la directrice ouvre son colis. Elle tripota sa bourse et frissonna de bonheur. Cet argent ne l'encombrerait bientôt plus... Ces souvenirs trop accablants la quitterait bientôt... Quel bonheur...

Maître Forgeron Nombre de messages : 139 Date d'inscription : 04/09/2006

Après avoir fini le travail à la forge, Zhaï vit Ragnarök rentrer de sa démarche ondulante et vint lui dire des renseignements de la situation au bureau de Dame Loevel. Sur ses paroles, elle le remercia puis partie en direction de l’école de magie.

Une fois devant la porte du bureau, elle la découvrit ouverte. Se stoppa devant elle pour reprendre son souffle, frappa deux fois puis entra.

« Bonsoir, Espedonnante. » Puis s’inclinant devant Artémis : « Dame » et darda du regard la petite fille.

« Bien »

Séothal qui savait exactement ou se diriger pour proposer ses services entra sur ces entrefaits.
*Oups, j' ai bien l' impression d' être entré au plus mauvais moment ... il risque de m' arriver quelque chose de bien aujourd'hui ...*

"Salutations, mon nom est Séothal Blanchegriffes, et si je me présente avec tant d' emphase et d' insolence, c' est que j' ai pu constater qu' il y avait dans cette école un véritable manque de professeur. J' aimerais donc y palier en proposant mes humbles services dès à présent, pour que le retard des élèves ne prenne pas un avancement trop poussé !"

Le message dit, Séothal se tint droit, sur le qui-vive, attendant une réponse de l' héritière du pouvoir (une jeune humaine qui se tenait derrière un bureau, la seule dont l' aura ne présentait aucune trace d' un potentiel magique, donc la seule a pouvoir dissimuler son potentiel dans une cité où seuls habitaient des magiciens ...)

Artémis s'apprétait à ouvrir le paquet de Charlotte, lorsque Zhaï, puis un autre individu, qu'elle ne connaissait pas mais qui se présenta sous le nom Séothal entrèrent à leur tour.

* Eh bien ... cette journée est bien animée. *

Elle regarda les deux nouveaux arrivants dans les yeux, salua discrètement Zhaï, fit signe à Séothal de bien vouloir s'asseoir sur un très grand fauteuil à sa taille, qui venait d'apparaitre dans un coin un peu plus éloigné de la pièce.
Puis elle se réintéressa au paquet, qu'elle ouvrit doucement. Puis elle sortit les armes l'une après l'autre, avant de dire.

" Je ne suis pas très érudite en ce qui concerne les armes, mais celles-ci me semblent de très bonnes qualités, mais égallement très rare. "

Elle regarda Zhaï d'un regard impressionné par la finesse des armes. Puis Charlotte, qui continuait à trituré sa bourse.

" Vous êtes plutôt jeune Charlotte? Alors, sans vouloir paraître indiscrète, d'où peut venir l'argent pour payer ses armes, que l'on m'a dit valoir près de 4500 mystics d'or? "

Elle attendait de voir la réaction de Charlotte, elle était sûr, qu'après cela, sa culpabilité si coupable elle était, se verrait dans ses yeux.
Mais en attendant elle observa Séothal, elle était très intriguée. Elle avait entendu parler des Léonins Blancs, mais jamais elle n'aurait cru pouvoir en voir un de ses propres yeux. Il la fixait lui aussi de ses yeux perçants, cherchant, elle pouvait le sentir, à déceler la grandeur de sa force et de son pouvoir.

* Cherche toujours ... Tu auras peut-être de la chance ... *

La jeune femme se mit à parler à une elfette qui semblait pensive, et ceux à propos d' armes de hautes factures ...
*Ah, ces jeunes, ils ne peuvent s' empêcher de vouloir toujouts le nec le plus ultra ...*

La jeune femme le regardait, toujours sans ciller.
Séothal se mit en tête de jauger son potentiel, puis abandonna rapidement, les murailles autour d' elles semblant si frêles qu' elles-mêmes devaient camoufler leur vrai pouvoir ...
*Eh ben mazette, bigrement protégé la ptite, elle risque rien, surtout de la part d' un mage ...*

Séothal sentit l' apparition du siège derrière lui, mais ne s' y assit pas, au contraire, il resta debout, répondant effrontemment à l' invitation de la jeune femme. Puis il lui adressa la parole de nouveau, transgressant encore les règles, mais il avait fait du chemin et se demandait s' il pourrait ne serait-ce que troubler le calme olympien de la jeune fille.
Il répondit alors qu' aucune question n' avait été formulée:
"Je vous accepte volontié comme femelle dominante de la cité, je me mets par la même à votre service, et, si vous me le permettez, j' espère apprendre autant de vous que je pourrais en apprendre à mes élèves"

Il envoya à la jeune fille le même message qu' à la porte, lui livranty par la-même toute les informations sur lui-même, son potentiel et sa magie.
Puis, calmement, décida de rester debout, faire une autre entorse à la règle n' étant pas plus mal.

Artémis fut peu surprise par le refus de Séothal, elle connaissait la réputation de tête brûlée des léonins blancs.
Et malgré tous ce qu'elle aurait imaginé, cela ne la géna pas, au contraire elle appréciait ce tempérament effrontée et elle lui sourit.

Elle s'approcha de lui très lentement, déposant au passage la lettre qu'elle tenait toujours dans sa main sur son bureau, passant près de Zhaï, elle s'arrêta en face de lui. Leva doucemant son visage vers le sien, puis le regarda droit dans le sien elle lui dit.

" Je vous accepte volontier comme mâle professeur dans cette cité, je met par la même ma confiance à vos pieds et j'espère que vous apprendrez beaucoup à nos élèves ... Mais est-ce que vous en êtes capable ? "

Elle fit un geste de la main et le fauteuil, qu'elle lui avait destiné, disparut. Après tout, si cela lui faisait plaisir, il pouvait rester debout. Puis lentement elle retourna derrière son bureau, attendant une réponse, qui, elle le savait, ne tarderait pas à fusée.

Charlotte était impressionée par le nouveau venu. Ainsi, ce Léonin serait professeur? Elle frissona intérieurement en pensant aux corrections qu'il pourrait donner aux élèves mals intentionnés... Elle toussota ensuite pour parler.

"Madame Loevel, je suis en effet plutot jeune, treize ans au compteur humain, et je comprend que cette fortune vous intrigue. Je commencerais par dire que mon oncle me donnais tout les mois une jolie somme d'argent de poche. Il pensait que je dépensait cet argent au village; il se trompait. Je le gardais. Quand il m'a interdit de sortir de sa demeure, il a arrêté progressivement de me donner de l'argent. Mais il oubliait le maitre d'arme qui me récompensait de quelques pièces lorsque j'avais bien travaillé; et de ma gouvernante qui quelques fois, me donnait une ou deux pièces. Avant ma fuite, j'avais donc une jolie somme; qui s'est arrondie la nuit de mon évasion. La gouvernante et le maitre d'armes m'ont donné pratiquement tout leur salaire du mois. Il m'aimait bien; et moi aussi..."

Charlotte laissa revenir les souvenirs joyeux qu'elle avait eut en présence des deux adultes. Que de bonheur... Elle se secoua et reprit.

"Donc, avant mon évasion, j'avais une jolie somme dans ma bourse. Et en passant devant les coffres forts de mon oncle, je n'ai put résister à l'envie de me vanger de lui. Il avait été cruel avec moi: il ne m'avait pas apporté d'amour, refusé de me voir, enfermée dans sa demaure, séparée de ma meilleure amie... Et donc, j'ai pénétrée dans la chambre des coffres forts. J'ai prit quelques pièces qui trainaient par terre et ai crocheté la serrure d'un coffre avec une aiguille. Je me suis enfuie avec une grosse somme en poche. Quand j'ai franchit la citée, tout les sous se sont métamorphosés en mystics. Un autre point important: pourquoi est-ce que je dépense tout cet argent alors que je pourrais devenir très riche? Eh bien parce que j'ai volé cet argent pour nuire à mon oncle, et pas pour le posséder. Et l'argent qui m'a été donné viens tout de même des coffres de mon oncle; et bien que celà me brise le coeur de devoir me séparer du dernier souvenir des deux personnes que j'ai aimées, je dois le faire pour être débarrassée du souvenir de mon oncle. Et en payant ces armes, je pourrais enfin accomplir mon désir."

Charlotte respira à fond. Une larme perla à un de ses yeux mais elle ne coula pas. Charlotte utilisa son pouvoir pour l'évaporer. Elle ne voulait pas pleurer devant trois adultes si nobles. De quoi aurait-elle l'air?

"J'ai encore quelques mystics en poche; mais ceux-là sont des pièces trouvés sur le chemin qui m'a conduit à la cité."

Elle vida le contenue de sa bourse sur la table. Il y avait là à peu près 4500 mystics d'or et surtout, un souvenir qui allait s'évaporer à jamais de son esprit. Elle attendit qu'on lui donne ses armes pour qu'elle puisse sortir et pleurer en paix.

Après avoir écouté avec attention les paroles de la jeune elfe et celles de l' Héritière (et avoir été au bord de l' apoplexie lorsque la jeune fille lui avait pris sa tête dans ses doigts fins; fins,oui mais emplis de magie *je f' rais mieux d' faire gaffe*), Séothal se rattacha au protocole.

Retrouvant par la même un semblant de l' état normal dans lequel s' efforce de se trouver tout léonin, le Devoir _notion qui d' ailleurs, fait interressant, se décline en 5 mots différents de sens nuancées en leur dialecte_ qui lui imposait d' accepter le travail confié par un supérieur en matière de magie *... et j' me doute bien qu' il y a quelques chances qu' elle le soit vraiment.* il se détendit.

Il deviendrait donc le maître de chasse de ce nouveau clan qui lui semblait-il, l' avait accepté. Il serait ainsi (celui-qui-garde-les petits-et- leur-enseigne-la chasse-et-les-choses-que-les-femelles-préfèrent-ignorer-quand-à-ce-que-ses-gros-lourdaux-de-mâles-peuvent-inventer.
cf: traduction littéral).
Une notion qui pouvait sembler bien compliqué pour un métahumain mais qui était à ses yeux des plus élémentaires.

Il retira doucement sa tête, se baissa légèrement plus que l' héritière ne l' avait poussé à le faire (elle lui arrivait à peine aux pectoraux, de là à ce qu' elle puisse lui prendre la tête, le pauvre aller se faire une hernie !!!) et présenta sa gorge à l' adolescente pendant une dizaine de seconde, rien ne se passa.
Si elle ne le tuait pas, elle l' acceptait ...
Bon, tout ça était follement intérressant mais il avait du travail:
"Que vos dieu veillent sur vous-toutes, sur vos clans et sur vos espèces. Je pars, mes remerciements pour le travail, je remplirais mon Devoir."

Sur ces mots, le mage s'en fut. Pas un regard en arrière, pas une attente de permission, pas une demande sur les limites de ses fonctions et sur la manière de rassembler aux élèves. Il était de son Devoir de leur enseigner, et il allait le faire.

Encore une entorse aux habitudes, aux traditions et aux protocoles ...
*A force de fréquenter des humains, je vais finir par devenir aussi chaotique qu' eux... ou peut-être est-ce le fait d' être chaotique qui me pousse à fréquenter cette espèce ... Ahlala, tant de questions et tant de temps pour y répondre ... et aucune utilités à ces réflexions !*
Mais pendant qu' il pensait cela, il était loin déjà loin, il se dirigeait vers les dortoirs, histoire de s' y installer et de réfléchir à son premier cours ...

( Ps:Les autres races ne s' en rendent jamais compte, mais les léonins ont réellement un sens du devoir assez ... Léonin ...)

Artémis écouta attentivement Charlotte parlé, elle était sincère, elle pouvait le jurer. Personne n'avait encore jamais réussit à lui mentir ... sauf peut-être une fois ... mais peu importe.
Elle regarda les pièces dégringoler sur son bureau, elle ne bougea pas.
Mais le Léonin lui bougea. Il se mit en position soumise devant elle, mais elle ne bougea toujours pas et le regarda s'en aller avec un sourire.
Puis elle retourna son attention sur les pièces, Charlotte et enfin Zhaï, qui n'avait rien dit depuis un moment.

" Très bien Charlotte, je te crois. Ces pièces tu les as volées, tu avais une raison, mais elle ne me regarde pas tant que tu n'as fait de mal à personne. Les pièces restent là, tu peut prendre tes armes. Et ne pense plus au passé ... c'est l'avenir qui est important. "

Elle avait dit cette drenière phrase d'une voix douce et chaleureuse. Puis elle s'adressa à Zhaï.

" J'espère que vous êtes satisfaite de tous ceci. Ces pièces sont a vous. "

Tout en souriant elle désigna les pièces sur son bureau d'un geste de la main.

Charlotte se leva.

"Merci."

Elle prit les armes, récupéra Olwey et s'en alla ainsi chargée vers la porte. Arrivée à la sortie, elle s'inclina.

"Au revoir, madame Loevel."

Elle se releva et s'inclina à nouveau dans une autre direction.

"Au revoir madame Dritzz."

Sur ce, elle s'en alla en fermant la porte derrière elle. Elle se dirigea vers l'entrée pour y retrouver ses amis. Elle courait presque; celà sécherait ses larmes.

Maître Forgeron Nombre de messages : 139 Date d'inscription : 04/09/2006

Suivant le déroulement des commentaires sans y ajouter un mot, Zhaï finissait à peine de finir d’étudier l’art et la manière du Léonin blanc dans ses gestes, ses paroles, mais surtout dans ses pensées… Que la première phrase qu’elle entendit réellement était la dernière de cette conversation.
L’argent lui était fort peu utile, mais elle l’accepta sans dire un mot.

*Il est tout de même utile dans le consortium des humains…*

Elle rassembla les 4 675 Mystics d’or, sans paraître avares, bien au contraire. Puis les fit rentrer petit à petit dans l’une de ses fréquentes sacoches attachées à sa taille. Curieusement, la sacoche ne semblait pas se remplir au fur et à mesure que les pièces y entraient, elle gardait le même volume…
Quelques minutes plus tard, elle ferma sa sacoche puis s’inclina devant Artémis Loevel avant de partir.
L’affaire était réglée…