J'arrivais, épuisée, exténuée, au lieux dont m'avait parlé le maître d'arme et la gouvernante. Je cherchais des yeux la cité dont ils m'avait parlés mais je ne la voyais pas. Je m'assis, ou plutôt m'affaissai et pensai:
*j'ai donc fait tout celà pour rien...*
Et tout à coup, dans mon désespoire, j'entraperçu une lueur, un espoir dons mon désarois. Je me relevai difficilement et aperçu un dôme, puis un mur, des boutiques, des ruelles, une porte. Je m'avançai vers cet endroit magique, féérique le coeur remplit de peur dans la crainte de voir tout ceci s'envoler. Plus je m'approchais, plus mon coeur battait. Je m'arrêtai à deux pas de la porte. Toute ma vie défila en moi.Je me dit tout haut en inspirant fort:
"Courage ma cocotte!"
Et je tendis la main...Pour remarquer qu'il n'y avait pas de poignée. J'avais déjà entendu parler de portes ne s'ouvrant qu'avec la magie.
*Voyons...Quel est mon puvoir?Mon arc?Mais oui, c'est çà!*
Je brandissait mon arc et tirait un flèche dans la porte qui s'illumina d'un seul coup et s'ouvrit.Je retirai la flèche en présentant mes excuses à la porte et j'entrais.